Vous avez le bon message, le bon canal, la bonne cible… et pourtant, l’impact n’est pas là.
Il manque quelque chose.


Ou plutôt : il y a trop de choses qui perturbent la réception.

 

Dans un contexte de surcharge informationnelle, les biais cognitifs façonnent en silence la façon dont vos messages sont perçus, compris… ou oubliés.

Voici trois mécanismes à connaître — pour mieux les déjouer.

1️⃣ Le biais de confirmation

Nous retenons plus facilement ce qui confirme ce que nous croyons déjà.
Et nous rejetons (souvent inconsciemment) ce qui contredit notre vision du monde.

➡️ Résultat : un message percutant peut être ignoré… s’il ne résonne pas avec les croyances de la cible.

Stratégiquement, il faut savoir créer un pont : relier ce que vous dites à ce que l’autre pense déjà.

2️⃣ L’effet de récence… et son cousin, l’effet de primauté

Dans une séquence d’informations, les premières et dernières données sont celles que l’on retient le mieux.
Le cœur du message, lui, est souvent… zappé.

➡️ En structurant mal vos contenus, vous perdez le message-clé.

Optimiser sa communication, c’est scénariser la mémoire.

3️⃣ L’illusion de transparence

Ce biais nous fait croire que les autres comprennent nos intentions aussi bien que nous.
Mais ce qui est clair dans notre tête ne l’est pas toujours dans la leur.

➡️ Une idée floue pour l’interlocuteur = un message sans impact.

Clarifier, c’est traduire.
Pas seulement formuler.

      Conclusion 

La stratégie cognitive, ce n’est pas manipuler.
C’est anticiper les mécaniques de l’attention, de la compréhension, de la mémorisation — pour que vos messages soient non seulement entendus, mais intégrés.

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